dimanche 25 avril 2010

Olala... ça recommence.

Demain reprise des cours.
Je vais me lever à 6h du mat' ou bien alors 5 minutes avant l'heure à laquelle je suis censé-e partir de chez moi, dans ce cas là ce sera préparage express! Avant de claquer la porte en partant, je passerai devant Matt qui dort tranquillement, monsieur est en vacances encore... Mon chat lui, va me regarder avec ses petits yeux, je vais vouloir le porter et j'aurai plein de poils de chats accrochés sur moi pour le restant de la journée.
50 minutes de route, j'arrive, j'évite de voir les tronches des étudiants (qui feront d'ailleurs de même, sauf exception, certaines personnes sont contentes de se revoir, d'autres font les faux culs fin' bref)
8h15 ma semaine commence, cours de C2i ! Planté-e devant un écran pendant deux heures, durant lesquelles je vais me sentir débile (Lilith11 ne comprends jamais les énoncés, et quand il/elle pense avoir compris, ben en fait non) je vais de bon matin retrouver ma petite migraine bien spécifique du lundi matin qui m'avait quitté un cours instant pendant la nuit. Et plus la journée s'écoulera, plus j'aurai mal! Quelle joie.
Fin de racontage de vie lu par personne. Ce qui n'inclue pas Matt, Sevinc et Preston, car vous n'êtes pas personne!

mardi 20 avril 2010

reprise de Lilith11

Voilà.
Mon activité détestable et imposée a pris fin hier soir.
Reprendre le boulot s'avère parfois difficile... Des tas de choses à achever avant samedi, avant samedi! Je veux mon weekend, moi!

Balkan Music Awards 2010

Le lien du jour

lundi 19 avril 2010

Lilith11 fait abstraction du monde exécrable mais parfois...

Un peu comme dans Gymnopédie, à la fois triste et parfois suscitant un micro sentiment positif et de sérénité, entouré-e de ces éléments nuisibles qui l'affaiblissent, qui aiguisent son amertume envers le côté con de l'humain - le front retenu par la main - larme sur le touchpad - elle se rassure avec cette idée que tout le monde n'a pas le même degré d'idiotie.
J'essaie parfois d'imaginer l'incarnation de la pourriture abstraite de l'Homme. Cette chose à présent là et bien concrète, abjecte et fétide, me donne envie de ne plus réfléchir aux choses réelles mais de me laisser emporter par la rêverie, et retomber dans l'obsession de la quête de l'idéal inatteignable, tant son âme est pure, mon besoin trop personnel risque de l'infecter. Non je préfère rester coincé-e dans ce cauchemar, subir ces nuisances et m'égarer toujours un peu plus dans cette recherche éternelle de mon idéal.

Sevinc attaque Lilith11 à coup de videos

Je me devais de le mentionner ici. C'est son activité principale depuis hier, m'envoyer des videos, à peu près 40, ou 50, et + une et + une et + deux, et ce à 10m de moi. Des liens avec des blagues que je ne comprends pas. Ca va, Sevinc, j'aime les lives, j'aime bien les chats rigolos, j'aime qaf, mais au bout d'un moment, je me lasse : / et puis, et puis c'est tout.
...Mais t'inquiètes pas, je t'adore toujours autant!
et tes trouvailles aussi ; )
PS Le Sevinç de mon facebook n'est pas mon Sevinc!

Lilith11 est peut être bien tarée

A fleur de peau, agacé-e par l'attente et parce que je me suis retrouvé-e en manque d'écriture à cause d'un leger changement dans mes habitudes, j'ai perdu cette obsession constructive, je n'arrivais tout simplement plus à taper sur mon clavier quelque chose qui mérite d'être sauvegardé dans mes docs. J'ai voulu en finir, bacler le truc.
J'ai tué mon personnage. Horreur. Je n'ai pas vu venir la chose, mais c'était là, c'est arrivé. Suite à ce décès fictif (presqu'un meurtre de ma part ahh je suis cruel-le) l'impression de me retrouver seul-e, de me sentir inutile, m'a fait expédié directement dans LE sous sol sombre dans les tons froids, étouffant, maintenant que j'y pense et pour faire court, un peu comme la fameuse chauve souris coincée sous le couvercle. (cf bien sûr Baudelaire Spleen IV)
Je suis arrivé-e au bout, je ne sais pas comment récupérer le truc, je m'enfonce peu à peu et je n'ai pas la possibilité de le faire revivre, ou bien alors je changerais de style, mais non je ne veux surtout pas. Je peux toujours jeter mon dernier passage. Non plus. Pas maintenant. Pourtant il me manque! Je dois le sortir de ce cauchemar, je dois me sortir de ce délire, mais je n'ai plus la force de lui céder mon énergie. Le sortir de ce cauchemar me mènerait à nouveau à l'obsession de la continuité, me sortir de ce délire le mènerait au néant, hors je ne pourrai faire le deuil d'une telle personnalité, tellement forte que je la sens cohabiter avec moi.
Je m'arrête la chose est devient trop privée, bonne nuit.

dimanche 18 avril 2010

Lilith morte de rire

Pour développer la chose, je suis plus sujet-te à mourir d'ennui, qu'à mourir de rire.
Oui c'est clair, ça vaut un article. Bientôt et comme prévu un sujet sur le verbe (hahaha) mourir.



Cliquez pour un peu de fun
(video Islande eurovision 2010 + volcan Eyjafjöll)

Echantillons d'échanges plats forts en émotions de Lilith11 et Sevinc

Elle aime pas son pseudo mais elle s'en fiche.
Discussion du matin I
Mon pote Sevinc me demande avec un air... indéfinissable :
Mais pourquoi avoir choisi ce pseudo moche avec ce chiffre moche? Le mien est grave neuneu il me va mais toi ça te va pas *sourire niais forcé*
Ben... mon ancien pseudo était tellement... génial qu'on me l'a piraté?! Et fallait un pseudo "moche" qui ne me ressemble pas... je sais pas moi!
Bon je vous rassure lorsqu'il s'agit de mails sérieux j'utilise une autre adresse...
Discussion du matin II
Toujours mon pote Sevinc qui m'annonce tout excité qu'il part en Turquie cet été.
Je le regarde tout-e décomposé-é :
Quoi?!! Sans MOI?!!
Fin de l'échange. Sevinc fait son monologue :
Ben... euh... euh... *tousse* ... t'aurais pas du toplexil?
Blanc.
Tellement dégouté-e que j'ai fait du thème.
Discussion de l'après midi
Sevinc : Tu viens on va marcher? Allez viens on va marcher? Il fait beau viens on va marcher!
T'as vu ce temps c'est trop génial on sort? Hein hein oui ou non? On y va? Du café?
(non il ne manque rien entre les deux dernières interrogations)

samedi 17 avril 2010

lilith11 et la solitude

Quand elle devient pesante... oh la la comme ça fait mal. Aïe.
La solitude ne me dérange pas non, en général... Mais lorsque je suis d'humeur mélancolique, et que je pense à mon Idéal inatteignable... Splénomégalie le retour. Asthénie II.
Je hais ces périodes où les émotions deviennent incontrôlables.
Je suis mélancolique parce que.
Les coudes sur la table, les mains posées sur les tempes, je sens les pulsations dans mes oreilles, irrité-e énervé-e, envie de pleurer mais ça ne vient jamais, boule à la gorge... mal de tête.
Cette soirée est plus que merdique. Si vous avez le mot, n'hésitez pas à me le suggérer.
Passer une heure perché-e à la fenêtre, rien ne se passe. Rien.
Allumer le pc, se poser, écrire deux ou trois bétises. Toujours rien.
Un samedi soir pathétique, ou bien est ce moi qui le suis...

S., allons en Macédoine ... ou au Montenegro... ou...


Allez quoi... ça ne fait que 19 fois que je vais au même endroit! L'été dernier j'ai boudé et je suis resté-e chez moi alone with my cat. Ce n'était pas plus mal...

Mais moi, c'est là que je veux aller là maintenant... =>


Soleil soleil je m'en moque moi, du soleil.

Qui de plus m'est plutôt pernicieux... Je ne m'expose pas au soleil, je n'en vois pas l'intérêt. Oh elle aime pas le soleil hahaha. Oui ça me fait rire moi aussi...
Je suis fâché-e avec celui-ci, tout comme le vent qui fouette le visage, et surtout au niveau des sinus, du front, deux minutes et hop mon mal s'amplifie. Mais le soleil lui, encore plus vicieux, et qui surtout s'impose dans les moments où bien sûr le travail dérègle ton rythme de vie tellement la charge est monstrueuse, te pousse à sortir dans le jardin pour faire une pause. La pause qui, chez moi, est devenue impossible au soleil. L'intensité de la lumière me rentre littéralement dans les yeux, le soleil qui TAPE sur ton cerveau en surchauffe (cf. travail). Oui bon voilà c'est le processus où mes maux constants cèdent la place à the migraine qui s'incruste, c'est parti pour une semaine de shoutage et un problème de concentration plus complexe à gérer que d'habitude.
Les gens eux, sortent, parlent très fort, leurs enfants crient, les chiens aboient, voitures musique à fond (vitres ouvertes et oui jusqu'au bout!) et bien sûr l'odeur, ou plutôt la puanteur de la grillade des voisins (la fumée étant un facteur amplificateur de mal de tête chez moi)
Non non je préfère rester à l'intérieur.
Je ne suis pas un-e traumatisé-e du printemps, seulement parfois... Il me donne envie de pleurer.

mercredi 7 avril 2010

le retour de lilith11...

doucement mais sûrement...

à suivre...